SEINE-MARITIME - Par deux fois jeudi 20 mars à un peu moins de deux heures d'intervalle, les sapeurs-pompiers ont été appelés au lycée Val de Seine, à Grand-Quevilly, pour éteindre des feux dont l'origine est qualifiée de criminelle par les enquêteurs.
Le premier a été constaté vers 15 heures dans les toilettes du 2e étage et c'est un responsable technique de l'établissement qui l'a éteint à l'aide d'un extincteur avant l'arrivée des pompiers. Quelque 500 élèves ont dû être évacués par sécurité.
Les policiers découvrent un deuxième feu
Venus faire les constatations, les policiers du groupe de sécurité de proximité (GSP) ont observé que le feu avait entièrement détruit un porte-savon et que les murs et les sols étaient endommagés et noircis par les flammes et la fumée.
En inspectant les autres étages du lycée, leur attention était attirée par la présence d'une fumée noire provenant des sanitaires du troisième étage. Cette fois c'était le sèche-mains électrique qui brûlait. Les policiers ont demandé au proviseur de faire évacuer une centaine d'élèves, afin que les pompiers puissent procéder à la ventilation des locaux.
Dans les deux cas, il n'y a pas eu de blessé.
La thèse criminelle est privilégiée
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale. L'origine volontaire de ces feux ne font aucun doute pour les enquêteurs. D'autant que quelques jours plus tôt, jeudi 13 mars, en fin d'après-midi, un sèche mains avait été détruit par le feu dans ce même lycée. Soixante-dix personnes avaient été évacuées. Coïncidence curieuse.
Le premier a été constaté vers 15 heures dans les toilettes du 2e étage et c'est un responsable technique de l'établissement qui l'a éteint à l'aide d'un extincteur avant l'arrivée des pompiers. Quelque 500 élèves ont dû être évacués par sécurité.
Les policiers découvrent un deuxième feu
Venus faire les constatations, les policiers du groupe de sécurité de proximité (GSP) ont observé que le feu avait entièrement détruit un porte-savon et que les murs et les sols étaient endommagés et noircis par les flammes et la fumée.
En inspectant les autres étages du lycée, leur attention était attirée par la présence d'une fumée noire provenant des sanitaires du troisième étage. Cette fois c'était le sèche-mains électrique qui brûlait. Les policiers ont demandé au proviseur de faire évacuer une centaine d'élèves, afin que les pompiers puissent procéder à la ventilation des locaux.
Dans les deux cas, il n'y a pas eu de blessé.
La thèse criminelle est privilégiée
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale. L'origine volontaire de ces feux ne font aucun doute pour les enquêteurs. D'autant que quelques jours plus tôt, jeudi 13 mars, en fin d'après-midi, un sèche mains avait été détruit par le feu dans ce même lycée. Soixante-dix personnes avaient été évacuées. Coïncidence curieuse.
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