Il est environ 1 h 40 du matin, dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 juillet, lorsque des policiers sont appelés à intervenir rue Ruffin, à Bolbec (Seine-Maritime). Un témoin signale la présence d’individus au comportement suspect dans un immeuble.
Les forces de l’ordre se rendent rapidement sur place et bloquent l’impasse menant au bâtiment afin de procéder à des vérifications.
Les forces de l’ordre se rendent rapidement sur place et bloquent l’impasse menant au bâtiment afin de procéder à des vérifications.
Le conducteur refuse de coopérer
Alors qu’ils sont sur les lieux, les policiers repèrent une Renault Clio et décident de contrôler son conducteur,. Ce dernier, un homme de 53 ans, refuse d’abord de couper le moteur avant de finalement obtempérer. Mais il s’oppose ensuite aux vérifications d'usage en refusant de présenter ses papiers.
Les fonctionnaires constatent rapidement plusieurs irrégularités : la plaque d’immatriculation de la Clio ne correspond pas à la carte grise, le véhicule n’est pas assuré, et le conducteur présente des signes évidents d’alcoolisation. Il refuse par ailleurs de se soumettre à un dépistage à l’éthylotest. L’enquête révèlera que son permis de conduire est annulé.
Les fonctionnaires constatent rapidement plusieurs irrégularités : la plaque d’immatriculation de la Clio ne correspond pas à la carte grise, le véhicule n’est pas assuré, et le conducteur présente des signes évidents d’alcoolisation. Il refuse par ailleurs de se soumettre à un dépistage à l’éthylotest. L’enquête révèlera que son permis de conduire est annulé.
Un policier violemment pris à partie
Le quinquagénaire se montre alors de plus en plus agressif. Il insulte les policiers, affirmant qu’« ils lui cassent les couilles ». Et lorsqu’ils procèdent à son interpellation, il donne un coup de pied à l’un des agents, heureusement protégé par son gilet tactique, puis tente de frapper à nouveau.
Finalement maîtrisé, l'automobiliste irascible a été placé en garde à vue. Il devra répondre de violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, outrage, rébellion, conduite malgré l’annulation du permis, défaut d’assurance et refus de se soumettre au dépistage d’alcoolémie.
Finalement maîtrisé, l'automobiliste irascible a été placé en garde à vue. Il devra répondre de violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, outrage, rébellion, conduite malgré l’annulation du permis, défaut d’assurance et refus de se soumettre au dépistage d’alcoolémie.
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