L’Association Stéphane Lamart « Pour la défense des droits des animaux » annonce sa présence au Tribunal correctionnel d’Argentan, ce mardi 9 décembre, aux côtés du réalisateur Luc Besson. Elle entend appuyer les poursuites engagées contre deux chasseurs mis en cause après une scène décrite comme d’une violence rare.
Selon l’association, un cerf, traqué par une meute, s’était réfugié sur la propriété du cinéaste en son absence. Sa mère, âgée de 85 ans, aurait assisté impuissante à l’agonie de l’animal, encerclé, attaqué par les chiens, puis achevé à coups de dague.
Selon l’association, un cerf, traqué par une meute, s’était réfugié sur la propriété du cinéaste en son absence. Sa mère, âgée de 85 ans, aurait assisté impuissante à l’agonie de l’animal, encerclé, attaqué par les chiens, puis achevé à coups de dague.
Chasse illégale et usage d’une arme prohibée
Les deux chasseurs sont poursuivis pour chasse non autorisée sur terrain privé attenant à une habitation, intrusion sans consentement du propriétaire et usage d’un mode de chasse prohibé : la dague.
Représentée par Me Patrice Grillon, l’association se constitue partie civile et réclame des sanctions exemplaires. « Cette affaire illustre une dérive cynégétique dangereuse », déclare son président Stéphane Lamart, dénonçant une intrusion violente et un acte « sans respect ni pour la loi ni pour la vie ».
Aux côtés de Luc Besson, l’association réaffirme que la chasse ne peut se transformer en licence pour des actes brutaux ni déroger aux règles fixées par la loi. Elle indique qu’elle continuera à se porter partie civile pour défendre les animaux victimes de violences et obtenir justice « au nom de ceux qui ne peuvent parler ».
Représentée par Me Patrice Grillon, l’association se constitue partie civile et réclame des sanctions exemplaires. « Cette affaire illustre une dérive cynégétique dangereuse », déclare son président Stéphane Lamart, dénonçant une intrusion violente et un acte « sans respect ni pour la loi ni pour la vie ».
Aux côtés de Luc Besson, l’association réaffirme que la chasse ne peut se transformer en licence pour des actes brutaux ni déroger aux règles fixées par la loi. Elle indique qu’elle continuera à se porter partie civile pour défendre les animaux victimes de violences et obtenir justice « au nom de ceux qui ne peuvent parler ».
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