Les deux adolescents n'ont pas hésité à se jeter dans l'eau glacée de l'Eure pour tenter d'échapper aux gendarmes (Photo d'illustration/infonormandie.com)
Les deux jeunes gens, âgés de 16 et 17 ans, avaient dans l'idée de cambrioler un pavillon à Saint-Etienne-du-Vauvray. Vers 10 h 30, ils jettent donc leur dévolu sur une habitation qui leur semble facile d'accès. Le visage dissimulé sous des capuches, et sûrs d'eux, ils s'introduisent dans la demeure.
Ils ignorent à cet instant qu'ils vont devoir avoir affaire à son propriétaire. Et ce dernier n'entend pas se laisser faire. Un peu désemparés, les deux apprentis cambrioleurs vident alors le contenu de leur bombe lacrymogène au visage de l'homme qui leur barre la route. Puis ils prennent la fuite à toutes jambes sans demander leur reste.
Stoppés dans leur élan par la rivière
Le réflexe de la victime d'appeler la gendarmerie est immédiat. Une, puis deux patrouilles arrivent sur les lieux. Les recherches s'organisent dans le secteur, notamment en direction du Vaudreuil. Les gendarmes remarquent, grâce au signalement donné par la victime, deux jeunes gens qui détalent devant eux à toute vitesse.
Déterminés à ne pas se laisser prendre, les fuyards n'hésitent à se jeter dans un bras mort de l'Eure et à traverser la rivière à la nage pour rejoindre l'autre rive. Pour autant, les gendarmes ne se découragent pas. Une équipe cynophile est appelée en renfort pour tenter de retrouver leur trace. Les policiers de Val-de-Reuil, territorialement compétents au Vaudreuil, se mettent eux aussi à chercher, de même que des habitants.
Finalement, l'un des adolescents est interpellé à proximité du golf du Vaudreuil, tandis que son complice est toujours en fuite.
Caché trois heures dans un bosquet
Les recherches s'intensifient. Elles finissent par payer : le deuxième adolescent est arrêté au moment où il sort d'un bosquet où il s'était caché pendant près de trois heures sans bouger !
Dans cette affaire, les gendarmes sont allés jusqu'au bout en faisant repêcher, par les plongeurs de la brigade fluviale de Grand-Quevilly, le sac à dos que les agresseurs avaient abandonné dans la rivière. Les enquêteurs voulaient savoir ce qu'il contenait : or, il était vide.
Placés en garde à vue, les deux adolescents, connus des services de police pour des faits de vols par effraction, ont été longuement entendus par les gendarmes. Ils ont été remis en liberté en attendant de comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel d'Evreux.
Ils ignorent à cet instant qu'ils vont devoir avoir affaire à son propriétaire. Et ce dernier n'entend pas se laisser faire. Un peu désemparés, les deux apprentis cambrioleurs vident alors le contenu de leur bombe lacrymogène au visage de l'homme qui leur barre la route. Puis ils prennent la fuite à toutes jambes sans demander leur reste.
Stoppés dans leur élan par la rivière
Le réflexe de la victime d'appeler la gendarmerie est immédiat. Une, puis deux patrouilles arrivent sur les lieux. Les recherches s'organisent dans le secteur, notamment en direction du Vaudreuil. Les gendarmes remarquent, grâce au signalement donné par la victime, deux jeunes gens qui détalent devant eux à toute vitesse.
Déterminés à ne pas se laisser prendre, les fuyards n'hésitent à se jeter dans un bras mort de l'Eure et à traverser la rivière à la nage pour rejoindre l'autre rive. Pour autant, les gendarmes ne se découragent pas. Une équipe cynophile est appelée en renfort pour tenter de retrouver leur trace. Les policiers de Val-de-Reuil, territorialement compétents au Vaudreuil, se mettent eux aussi à chercher, de même que des habitants.
Finalement, l'un des adolescents est interpellé à proximité du golf du Vaudreuil, tandis que son complice est toujours en fuite.
Caché trois heures dans un bosquet
Les recherches s'intensifient. Elles finissent par payer : le deuxième adolescent est arrêté au moment où il sort d'un bosquet où il s'était caché pendant près de trois heures sans bouger !
Dans cette affaire, les gendarmes sont allés jusqu'au bout en faisant repêcher, par les plongeurs de la brigade fluviale de Grand-Quevilly, le sac à dos que les agresseurs avaient abandonné dans la rivière. Les enquêteurs voulaient savoir ce qu'il contenait : or, il était vide.
Placés en garde à vue, les deux adolescents, connus des services de police pour des faits de vols par effraction, ont été longuement entendus par les gendarmes. Ils ont été remis en liberté en attendant de comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel d'Evreux.
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