Le commerce s'apprêtait à fermer lorsque l'agresseur a fait irruption (@Google Maps)
SEINE-MARITIME - Une commerçante de Grand-Quevilly a été agressée par un individu jeudi 20 février vers 19 heures, au moment où elle fermait son magasin à l'enseigne Central Presse-PMU, situé à l'angle des rues de l'Eglise et de la République.
Le malfaiteur, encagoulé et ganté, a fait irruption dans le commerce au moment où la gérante, âgée de 60 ans, était derrière son comptoir. Il lui a tendu un sac en plastique et lui a ordonné de déposer à l'intérieur le contenu de la caisse du PMU.
Trouvant sans doute que cela n'allait pas assez vite, l'agresseur, qui semblait très nerveux, a fait usage à plusieurs reprises d'une bombe aérosol - dont le contenu est en cours d'analyse - en direction du visage de la commerçante, puis a pris la fuite avec son butin.
Les recherches entreprises aussitôt après n'ont pas permis de retrouver la trace du malfaiteur dont le signalement a été diffusé à tous les services de police et de gendarmerie.
Choquée, la vicitime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers qui l'ont transportée au service des urgances du CHU de Rouen.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Le malfaiteur, encagoulé et ganté, a fait irruption dans le commerce au moment où la gérante, âgée de 60 ans, était derrière son comptoir. Il lui a tendu un sac en plastique et lui a ordonné de déposer à l'intérieur le contenu de la caisse du PMU.
Trouvant sans doute que cela n'allait pas assez vite, l'agresseur, qui semblait très nerveux, a fait usage à plusieurs reprises d'une bombe aérosol - dont le contenu est en cours d'analyse - en direction du visage de la commerçante, puis a pris la fuite avec son butin.
Les recherches entreprises aussitôt après n'ont pas permis de retrouver la trace du malfaiteur dont le signalement a été diffusé à tous les services de police et de gendarmerie.
Choquée, la vicitime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers qui l'ont transportée au service des urgances du CHU de Rouen.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale.