Depuis deux jours, est observée une augmentation des concentrations de particules en suspension, phénomène printanier courant sur l'ensemble de la Normandie. Ces particules sont de petites tailles, d'origines très variées et plus ou moins lointaines.
« Les conditions météorologiques (flux de Nord Est et ensoleillement) favorisent la formation et le transport dans l'atmosphère de particules dites secondaires à grande échelle », explique l’association Atmo Normandie.
On peut citer des particules liées au chauffage au bois et combustion de la biomasse, à l'activité agricole (notamment les épandages) avec une participation, en baisse en cette période de confinement, d'autres sources d'émissions (trafic, industries...).
Une contribution de sables désertiques est aussi vraisemblable, phénomène également courant au printemps.
« Les conditions météorologiques (flux de Nord Est et ensoleillement) favorisent la formation et le transport dans l'atmosphère de particules dites secondaires à grande échelle », explique l’association Atmo Normandie.
On peut citer des particules liées au chauffage au bois et combustion de la biomasse, à l'activité agricole (notamment les épandages) avec une participation, en baisse en cette période de confinement, d'autres sources d'émissions (trafic, industries...).
Une contribution de sables désertiques est aussi vraisemblable, phénomène également courant au printemps.