Les policiers ont dû employer un pistolet à impulsion électrique puis une matraque télescopique pour désarmer un homme qui menaçait d’attenter à ses jours après des violences conjugales.
Dans la soirée d’hier, dimanche, vers 21 heures, une femme de 53 ans appelle police-secours et déclare qu’elle vient de faire l’objet de violences de la part de son conjoint, âgé également de 53 ans.
Dans la soirée d’hier, dimanche, vers 21 heures, une femme de 53 ans appelle police-secours et déclare qu’elle vient de faire l’objet de violences de la part de son conjoint, âgé également de 53 ans.
Des coups de poing au visage
Une patrouille se rend à l’adresse indiquée par la victime rue de la Rochette à Évreux, pas très loin du commissariat. La femme indique avoir reçu des coups de poing au visage.
Son agresseur est présent dans le logement. Et, à l’arrivée de la police, il empoigne un couteau de cuisine dont il dirige la pointe de la lame vers sa poitrine. L’homme, alcoolisé, met en garde les fonctionnaires, menaçant d’attenter à sa vie s’ils essaient de s’approcher.
Son agresseur est présent dans le logement. Et, à l’arrivée de la police, il empoigne un couteau de cuisine dont il dirige la pointe de la lame vers sa poitrine. L’homme, alcoolisé, met en garde les fonctionnaires, menaçant d’attenter à sa vie s’ils essaient de s’approcher.
Neutralisé avec une matraque télescopique
Face au refus du quinquagénaire de lâcher le couteau, les forces de l’ordre dégaine leur pistolet à impulsion électrique et lance une décharge qui s’avère inefficace à cause du rideau derrière lequel l’homme est réfugié. Les policiers font alors usage d’une matraque télescopique et désarme ainsi le concubin violent qui est interpellé sans opposer de résistance. Il a été placé en garde à vue.
Elle refuse de déposer plainte
La femme a refusé la venue des sapeurs-pompiers et son transport à l’hôpital. De même, elle a refusé de déposer plainte.
Elle a expliqué que son compagnon avait bu trois litres de vin durant son absence dans l’après-midi. « Quand il est boit, il est violent », a-t-elle confessé aux policiers.
Elle a expliqué que son compagnon avait bu trois litres de vin durant son absence dans l’après-midi. « Quand il est boit, il est violent », a-t-elle confessé aux policiers.