Une institutrice de l'école maternelle des Authieux sur le Port-Saint-Ouen, en Seine-Maritime, va devoir rendre des comptes à sa hiérarchie, l'inspection académique, après la diffusion à ses élèves âgés entre 3 et 5 ans d'un film à caractère érotique, vendredi après-midi.
La version recueillie par les gendarmes confirmerait que l'enseignante a bien été victime d'une méprise.
Au départ, à l'heure de la récréation, elle avait prévu de diffuser aux enfants un dessin animé des "Trois petits cochons". Mais devant la réaction des élèves qui affirmaient en choeur l'avoir déjà vu et revu, elle aurait demandé à une de ses collègues de lui passer un autre dessin animé. Les premières images correspondaient bien, selon elle, au dessin animé "Oui Oui". Appelée au téléphone, à cet instant, l'institutrice s'est mise à l'écart pour aller répondre.
"Un accident extrêmement regrettable"
Mais quand elle est retenue au bout de quelques minutes, son attention a été attirée par des "rigolades inhabituelles" des élèves. C'est alors qu'elle s'est aperçue que les images du DVD n'avaient plus rien à voir avec "Oui Oui". Elle a, bien sûr, immédiatement arrêté la diffusion et alerté ses collègues. Les enfants ont été vu par un psychologue et les parents informés de ce qui s'était passé.
Pour le rectorat de Rouen, "il s'agit d'un accident extrêmement regrettable". Le SNUipp (syndicat des instituteurs et professeurs des écoles), partage cet avis et souhaite "dédramatiser" cette affaire.
Mesure de suspension administrative
Une diffusion qui, bien qu'accidentelle, a fait les gros titres de la rubrique "faits divers" de tous les médias, certains parlant de film X, d'autres d'images pornographiques, d'enfants très choqués...
L'enseignante incriminée, et livrée à vindicte populaire, a été convoquée par l'inspection académique. Selon nos informations, elle aurait fait l'objet immédiatement d'une mesure de suspension administrative par sa hiérarchie dans l'attente d'éclaircissements. Le DVD, quant à lui, a été détruit.
"En l'absence de plainte de parents d'élèves ni de l'inspection académique (ce qui était le cas ce jeudi soir) aucune suite judiciaire ne devrait être donnée à cette affaire", assurait jeudi 17 janvier le parquet de Rouen.
La version recueillie par les gendarmes confirmerait que l'enseignante a bien été victime d'une méprise.
Au départ, à l'heure de la récréation, elle avait prévu de diffuser aux enfants un dessin animé des "Trois petits cochons". Mais devant la réaction des élèves qui affirmaient en choeur l'avoir déjà vu et revu, elle aurait demandé à une de ses collègues de lui passer un autre dessin animé. Les premières images correspondaient bien, selon elle, au dessin animé "Oui Oui". Appelée au téléphone, à cet instant, l'institutrice s'est mise à l'écart pour aller répondre.
"Un accident extrêmement regrettable"
Mais quand elle est retenue au bout de quelques minutes, son attention a été attirée par des "rigolades inhabituelles" des élèves. C'est alors qu'elle s'est aperçue que les images du DVD n'avaient plus rien à voir avec "Oui Oui". Elle a, bien sûr, immédiatement arrêté la diffusion et alerté ses collègues. Les enfants ont été vu par un psychologue et les parents informés de ce qui s'était passé.
Pour le rectorat de Rouen, "il s'agit d'un accident extrêmement regrettable". Le SNUipp (syndicat des instituteurs et professeurs des écoles), partage cet avis et souhaite "dédramatiser" cette affaire.
Mesure de suspension administrative
Une diffusion qui, bien qu'accidentelle, a fait les gros titres de la rubrique "faits divers" de tous les médias, certains parlant de film X, d'autres d'images pornographiques, d'enfants très choqués...
L'enseignante incriminée, et livrée à vindicte populaire, a été convoquée par l'inspection académique. Selon nos informations, elle aurait fait l'objet immédiatement d'une mesure de suspension administrative par sa hiérarchie dans l'attente d'éclaircissements. Le DVD, quant à lui, a été détruit.
"En l'absence de plainte de parents d'élèves ni de l'inspection académique (ce qui était le cas ce jeudi soir) aucune suite judiciaire ne devrait être donnée à cette affaire", assurait jeudi 17 janvier le parquet de Rouen.
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