
Cinq véhicules ont été entièrement détruits par le feu dimanche près de l’Intermarché de Brionne - photo @ gendarmerie
Les faits remontent au dimanche 4 avril. Vers 4h30, plusieurs incendies volontaires sont commis à proximité de l’intermarché de Brionne (Eure). Au total, pas moins de cinq voitures seront détruites par les flammes.
La brigade de gendarmerie de Brionne est saisie de l’enquête. Les propriétaires des véhicules déposent plaintes. Les constatations et investigations effectuées par les militaires permettent d’identifer, dès le lendemain, les deux auteurs présumés de ces violences urbaines, âgés de 20 ans.
La brigade de gendarmerie de Brionne est saisie de l’enquête. Les propriétaires des véhicules déposent plaintes. Les constatations et investigations effectuées par les militaires permettent d’identifer, dès le lendemain, les deux auteurs présumés de ces violences urbaines, âgés de 20 ans.
Juges en comparution immédiate
Enquête rondement menée : dans la journée d’hier, mercredi 7 avril, les suspects sont interpellés à leur domicile, à Brionne et placés en garde à vue. Les perquisitions permettent de découvrir des éléments de preuve en rapport avec les incendies.
Longuement entendus sur les faits, les deux incendiaires ont été déférés aujourd’hui, à l’issue de leur garde à vue, devant un magistrat du parquet d’Évreux. Ils devaient être jugés en comparution immédiate pour « destruction de biens d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes » et pour non respect du couvre-feu dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.
On ne connaissait pas, en fin d’après-midi, les termes du jugement prononcé à leur encontre.
Longuement entendus sur les faits, les deux incendiaires ont été déférés aujourd’hui, à l’issue de leur garde à vue, devant un magistrat du parquet d’Évreux. Ils devaient être jugés en comparution immédiate pour « destruction de biens d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes » et pour non respect du couvre-feu dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.
On ne connaissait pas, en fin d’après-midi, les termes du jugement prononcé à leur encontre.