Le mis en cause a été interpellé dans l'Oise, au domicile de ses parents où cinq autres kilos de résine de cannabis ont été découverts par les enquêteurs - Illustration Adobe Stock
La scène débute au square Henri-Wallon, à Trappes, classée ville de sécurité renforcée. Lors d’une inspection dans les parties communes d'un immeuble, les policiers de la BST (brigade spécialisée de terrain) font une trouvaille de taille : six kilos de résine de cannabis dissimulés sur place. Le flair du chien spécialisé ne laisse aucune place au doute.
Rapidement, la Brigade des stupéfiants de la circonscription de police de Saint-Quentin-en-Yvelines est chargée de la suite des investigations. Les scellés sont confiés à la police scientifique du service interdépartemental de police judiciaire des Yvelines pour analyses approfondies.
Rapidement, la Brigade des stupéfiants de la circonscription de police de Saint-Quentin-en-Yvelines est chargée de la suite des investigations. Les scellés sont confiés à la police scientifique du service interdépartemental de police judiciaire des Yvelines pour analyses approfondies.
Des empreintes qui mènent jusqu’à l’Oise
Les recherches de traces papillaires vont s’avérer déterminantes. Les experts identifient un individu originaire de l’Oise. En recoupant les éléments, les enquêteurs parviennent à retrouver un numéro de téléphone, puis à localiser le suspect dans une petite commune du département.
Âgé de 24 ans, le jeune homme vit encore chez ses parents à Cambronne-les-Ribecourt. Les investigations patrimoniales ne révèlent aucun signe extérieur de richesse particulier, malgré l’importance des quantités de stupéfiants en cause.
Le 10 décembre, les policiers passent à l’action. Le suspect est interpellé à son domicile par la brigade des stupéfiants, appuyée par la brigade de surveillance et d’interpellation du SLPJ de Saint-Quentin-en-Yvelines. Lors de la perquisition, cinq kilos supplémentaires de résine de cannabis sont découverts.
Âgé de 24 ans, le jeune homme vit encore chez ses parents à Cambronne-les-Ribecourt. Les investigations patrimoniales ne révèlent aucun signe extérieur de richesse particulier, malgré l’importance des quantités de stupéfiants en cause.
Le 10 décembre, les policiers passent à l’action. Le suspect est interpellé à son domicile par la brigade des stupéfiants, appuyée par la brigade de surveillance et d’interpellation du SLPJ de Saint-Quentin-en-Yvelines. Lors de la perquisition, cinq kilos supplémentaires de résine de cannabis sont découverts.
Trois ans de prison, dont deux ferme
C'est lors d'une visite dans les parties communes d'immeubles du square Henri-Wallon à Trappes que le chien anti-drogue des policiers a déniché 5 kilos de résine de cannabis
Face aux enquêteurs, le mis en cause peine à s’expliquer. Il ne parvient ni à justifier l’origine de la drogue retrouvée chez lui, ni à expliquer la présence de ses empreintes sur les stupéfiants saisis à Trappes plusieurs mois plus tôt.
Déféré le 11 décembre, il est jugé en comparution immédiate. Le tribunal le condamne à trois ans d’emprisonnement, dont un an ferme, avec mandat de dépôt.
Déféré le 11 décembre, il est jugé en comparution immédiate. Le tribunal le condamne à trois ans d’emprisonnement, dont un an ferme, avec mandat de dépôt.
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