Covid-19 : en Normandie, le taux d’incidence poursuit sa forte baisse


Mercredi 18 Mai 2022

Taux de positivé en recul, moins d’hospitalisations et d’admissions en réanimation : la circulation du virus continue de régresser en Normandie, dans tous les départements. Le point avec l’Agence régionale de santé



Entre le 8 et le 14 mai, sur les 52 276 personnes testées 11 647 ont présenté un résultat positif - Illustration @ Adobe Stock
Entre le 8 et le 14 mai, sur les 52 276 personnes testées 11 647 ont présenté un résultat positif - Illustration @ Adobe Stock
Semaine après semaine, l’incidence régionale concernant l’épidémie de Covid-19 poursuit sa forte baisse, constate l’Agence régionale de santé (ARS) de Normandie dans son point de situation hebdomadaire publié ce mercredi.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au 17 mai, la Normandie affiche un taux d’incidence de 352,6 cas pour 100 000 habitants, en baisse de 22,2 % en une semaine (après une baisse de 21,6 % la semaine dernière), qui s’observe dans tous les départements.

Le nombre de reproduction (R) s’établit à 0,7, au même niveau qu’il y a huit jours.

Moins d’hospitalisations liées au Covid

Une nette amélioration est également observée dans les établissements de santé (hôpitaux et Ehpad) des cinq départements. Lundi 16 mai, 1 449 personnes atteintes du Covid-19 étaient hospitalisées (1 626 la semaine dernière), dont 44 en réanimation soit 27 de moins par rapport au dernier point de situation.

L’incidence en hospitalisation conventionnelle s’améliore avec 17 entrées par jour en moyenne contre 21 la semaine dernière, tandis que le rythme des entrées en réanimation reste peu élevé et stable (moins d’une entrée par jour en moyenne).

Le taux de positivité en recul

La courbe du taux de positivité est elle aussi en baisse. Ce dernier est désormais de 22,3 % contre 25,4 % la semaine précédente.

Entre le 8 et le 14 mai, sur les 52 276 personnes testées 11 647 ont présenté un résultat positif.

Enfin, si le port du masque n’est plus obligatoire dans les transports en commun depuis le 16 mai, il reste toutefois obligatoire dans les établissements de santé et médico-sociaux, au même titre que le passe sanitaire.