Pour se venger, un sans domicile fixe de 35 ans a cambriolé la demeure de celle qui l'avait hébergé entre juillet 2012 et juillet 2013, alors qu'il était à la rue. Le mis en cause a été interpellé mardi 2 décembre en fin d 'après-midi, en revenant récupérer son téléphone portable qu'il avait perdu sur les lieux du cambriolage, rue Thomas Dubosc à Rouen.
Il avait commis les faits le matin même vers 6 heures. La victime, âgée de 54 ans, reveillée par des bruits suspects dans sa maison, avait surpris le cambrioleur qui avait pris la fuite en emportant un ordinateur, une guitare et un c&rnet de chéques. Mais aelle avait eu le temps de reconnaître l'homme à qui elle offert le gîte et le couvert pendant un an.
Placé en garde à vue, le mis en cause, âgé de 25 ans, a reconnu les faits. Il a indiqué aux enquêteurs de la brigade de répression des cambriolages qu'il est entré dans l'habitation en fracturant la porte fenêtre du sous-sol. Quant au mobile de ce fric-frac, il l'explique par un besoin de vengeance, "pour embêter celle qui l'avait mis dehors".
Le jeune homme a été remis en liberté avec une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) devant le tribunal correctionnel de Rouen pour le 13 avril prochain
Il avait commis les faits le matin même vers 6 heures. La victime, âgée de 54 ans, reveillée par des bruits suspects dans sa maison, avait surpris le cambrioleur qui avait pris la fuite en emportant un ordinateur, une guitare et un c&rnet de chéques. Mais aelle avait eu le temps de reconnaître l'homme à qui elle offert le gîte et le couvert pendant un an.
Il perd sur place son téléphone portableEn faisant les constatations sur les lieux du vol par effraction, les policiers allaient retrouver un téléphone portable, appartenant au cambrioleur. Egalement le butin caché dans un buisson du jardin de la propriété. Une surveillance discrète était alors mise en place dans l'espoir de voir revenir le voleur. De fait, vers 17 h 30, ce dernier était aperçu par la victime à proximité de sa maison. Prévenu, une patrouille de police-secours procédait à son interpellation.
Placé en garde à vue, le mis en cause, âgé de 25 ans, a reconnu les faits. Il a indiqué aux enquêteurs de la brigade de répression des cambriolages qu'il est entré dans l'habitation en fracturant la porte fenêtre du sous-sol. Quant au mobile de ce fric-frac, il l'explique par un besoin de vengeance, "pour embêter celle qui l'avait mis dehors".
Le jeune homme a été remis en liberté avec une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) devant le tribunal correctionnel de Rouen pour le 13 avril prochain