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Un chien abattu par la police après avoir arraché en partie le bras d’une femme au Petit-Quevilly


Jeudi 26 Septembre 2024 à 11:42

Les policiers de la brigade cynophile ont été contraints, pour neutraliser un chien dangereux, de faire usage de leur arme de service. L’animal venait d’attaquer une femme, la blessant grièvement à un bras.



L’animal, un Malinois, a dû être neutralisé par les policiers de la brigade cynophile - illustration @ Pixabay
L’animal, un Malinois, a dû être neutralisé par les policiers de la brigade cynophile - illustration @ Pixabay
Une femme a eu l’avant-bras partiellement arraché par un chien, un berger malinois. Le drame a eu lieu hier mercredi dans l’après midi au Petit-Quevilly (Seine-Maritime). La victime âgée de 58 ans a été conduite dans un état grave au CHU de Rouen. L’animal a été abattu par les policiers.

Les secours sont intervenus vers 16h30 dans la cour d’une habitation située rue Chevreul. Ils ont découvert une femme en état de choc, assise au milieu de la cour de 40 m2 grièvement blessée par des morsures au bras gauche ainsi qu’un chien particulièrement excité et agressif, relate une source policière. 

Le chien a dû être abattu

​En raison de l’agressivité de l’animal, les sapeurs-pompiers pas plus que la police municipale n’ont pu intervenir pour porter secours à la victime, une voisine qui était chargée de venir nourrir l’animal. 

La brigade cynophile de la police nationale, habituée à ce type d’intervention, a tenté à plusieurs reprises de capturer l’animal à l’aide notamment d’un lasso, mais sans succès. 

Le chien de plus en plus excité se rapprochait dangereusement de la victime blessée. Les policiers n’ont donc pas eu d’autres choix que de le tuer en faisant usage de leur arme de service. 

Dans un état jugé grave

La quinquagénaire a été évacuée médicalisée vers le CHU de Rouen, après avoir reçu les premiers soins sur place par l’équipe du service mobile d’urgence et de réanimation (SMUR). Son état est jugé grave.
 






              


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