SEINE-MARITIME - La victime à peine émue est rentrée tranquillement chez elle, tandis que son braqueur a disparu dans la nature. Les faits sont pour le moins insolites. Ils ont pour cadre le supermarché hard discount Dia, rue du Champ des Oiseaux à Bois-Guillaume.
Mercredi, vers 16h50, une cliente attend à caisse l'arrivée de la caissière pour payer quelques achats. Elle a déjà sorti un billet de 5 euros. Brusquement, un inconnu dont la tête est dissimulée avec un caleçon (!) s'approche d'elle. Il pointe son arme de poing dans sa direction. Il lui arrache des mains le billet de 5 euros, lui réclame le contenu de la caisse puis l'entraîne vers la sortie.
Filmé par la vidéosurveillance
La cliente, âgée de 55 ans, explique alors au braqueur qu'elle n'est pas une employée du magasin, mais simplement uine cliente. Du coup, elle exige de récupérer ses 5 euros. Le malfaiteur s'exécute et prend la fuite. La victime, quant à elle, à peine choquée rentre à son domicile sans rien dire.
C'est le responsable du magasin qui alertera un peu plus tard les services de police. Les enquêteurs ont visionné le film de la vidéo-surveillance et ont pu ainsi reconstituer les faits, qui correspondent exactement aux déclarations de la victime qui a été entendue.
Une enquête a été ouverte par la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Mercredi, vers 16h50, une cliente attend à caisse l'arrivée de la caissière pour payer quelques achats. Elle a déjà sorti un billet de 5 euros. Brusquement, un inconnu dont la tête est dissimulée avec un caleçon (!) s'approche d'elle. Il pointe son arme de poing dans sa direction. Il lui arrache des mains le billet de 5 euros, lui réclame le contenu de la caisse puis l'entraîne vers la sortie.
Filmé par la vidéosurveillance
La cliente, âgée de 55 ans, explique alors au braqueur qu'elle n'est pas une employée du magasin, mais simplement uine cliente. Du coup, elle exige de récupérer ses 5 euros. Le malfaiteur s'exécute et prend la fuite. La victime, quant à elle, à peine choquée rentre à son domicile sans rien dire.
C'est le responsable du magasin qui alertera un peu plus tard les services de police. Les enquêteurs ont visionné le film de la vidéo-surveillance et ont pu ainsi reconstituer les faits, qui correspondent exactement aux déclarations de la victime qui a été entendue.
Une enquête a été ouverte par la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
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