La gendarmerie a enquêté et mis en place des surveillances pendant plusieurs semaines en bordure des parkings où les agressions avaient été signalées, en bordure de la RN 12 (illustration)
Quatre jeunes gens soupçonnés d'être les auteurs d'une série de vols sous la menace d'une arme à l'encontre de chauffeurs routiers, dans l'Eure, devront répondre de leurs actes devant la justice dans les prochains mois.
La gendarmerie de l'Eure enquêtait depuis la fin de l'année dernière sur des vols commis sur des parkings en bordure de la RN12, dans le sud du département, par un gang de malfaiteurs encagoulés et armés.
Toujours selon le même mode opératoire, les individus s'attaquaient aux chauffeurs routiers qui s'arrêtaient la nuit pour se reposer et les dévalisaient de leur argent, cartes bancaires et objets personnels (téléphone portable). Dix-sept conducteurs seront ainsi victimes des agissements de cette bande, entre novembre 2014 et mars 2015 précise la gendarmerie sur sa page Facebook.
Prison pour l'un, contrôle judiciaire pour les autres
Les investigations - audition des victimes, recoupements, perquisitions - ont finalement permis aux enquêteurs d'identifier et d'interpeller le mardi 19 mai quatre suspects qui ont été placés en garde à vue.
On ignore s'ils ont reconnu ou pas les faits, toujours est-il que l'un d'entre eux a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention (JLD) d'Evreux. Les trois autres ont été placés sous contrôle judiciaire.
La gendarmerie de l'Eure enquêtait depuis la fin de l'année dernière sur des vols commis sur des parkings en bordure de la RN12, dans le sud du département, par un gang de malfaiteurs encagoulés et armés.
Toujours selon le même mode opératoire, les individus s'attaquaient aux chauffeurs routiers qui s'arrêtaient la nuit pour se reposer et les dévalisaient de leur argent, cartes bancaires et objets personnels (téléphone portable). Dix-sept conducteurs seront ainsi victimes des agissements de cette bande, entre novembre 2014 et mars 2015 précise la gendarmerie sur sa page Facebook.
Prison pour l'un, contrôle judiciaire pour les autres
Les investigations - audition des victimes, recoupements, perquisitions - ont finalement permis aux enquêteurs d'identifier et d'interpeller le mardi 19 mai quatre suspects qui ont été placés en garde à vue.
On ignore s'ils ont reconnu ou pas les faits, toujours est-il que l'un d'entre eux a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention (JLD) d'Evreux. Les trois autres ont été placés sous contrôle judiciaire.