Dans l'attente de la levée de doute, le commissariat a été évacué et un périmètre de sécurité mis en place - Illustration © Google Maps
Le commissariat de police de Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime) a été momentanément évacué et fermé hier après-midi (mardi). Une mesure de sécurité nécessaire après la découverte d'une enveloppe contenant de la poudre blanche, déposée par une habitante.
Cette Sottevillaise s'est présentée à l'accueil du commissariat vers 16 heures, rue Garibaldi. Inquiète de la lettre qu'elle venait de recevoir à son nom - elle contenait un sachet hermétique et opaque d'une dizaine de grammes de poudre blanche - elle a préféré la remettre aux services de police.
Cette Sottevillaise s'est présentée à l'accueil du commissariat vers 16 heures, rue Garibaldi. Inquiète de la lettre qu'elle venait de recevoir à son nom - elle contenait un sachet hermétique et opaque d'une dizaine de grammes de poudre blanche - elle a préféré la remettre aux services de police.
Postée aux Abymes en Guadeloupe
Par précaution, les policiers ont fait évacuer le commissariat et ont fait appel à la cellule chimique et bactériologique du service départemental d'incendie et de secours (SDIS). Faute de pouvoir déterminer précisément la nature du produit, le sachet et l'enveloppe de 10 cm sur 20, ont été confinés dans un récipient spécial, afin d'être acheminés vers un laboratoire d'analyse spécialisé.
La femme a expliqué qu'elle avait récupéré la lettre postée aux Abymes, en Guadeloupe, dans la boite de son ancienne adresse, rue Raspail à Sotteville. Le sachet contiendrait très certainement des stupéfiants (cocaïne ou héroïne), selon une source proche de l'enquête.
Après la levée de doute quant à un risque chimique ou bactériologique, les fonctionnaires de police ont pu réintégrer leurs locaux.
La femme a expliqué qu'elle avait récupéré la lettre postée aux Abymes, en Guadeloupe, dans la boite de son ancienne adresse, rue Raspail à Sotteville. Le sachet contiendrait très certainement des stupéfiants (cocaïne ou héroïne), selon une source proche de l'enquête.
Après la levée de doute quant à un risque chimique ou bactériologique, les fonctionnaires de police ont pu réintégrer leurs locaux.