Un incendie dont l'origine est suspecte, s'est déclaré cette nuit vers 0h45 dans un immeuble de la rue Chasselièvre, à Rouen. L'alerte a été donnée par un jeune couple de locataires du premier étage qui a senti une forte odeur de brûlé. En ouvrant la porte de leur appartement, ils ont alors constaté une épaisse fumée et des flammes qui envahissaient le couloir. Ils ont eu le temps de sortir pour se mettre à l'abri dans la cour de l'immeuble.
Deux autres locataires, un homme de 68 ans domicilié au premier étage et un autre de 55 ans du rez-de-chaussée, ont également évacué l'immeuble. Le plus âgé a été légèrement brûlé à un pied et à une main en descendant dans l'escalier embrasé. Il a, en outre, été légèrement intoxiqué par les fumées. Il a été conduit à l'hôpital.
Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir pour porter secours à un locataire du deuxième étage . L'homme, âgé de 36 ans, alors plongé dans un profond sommeil, n'a rien entendu. Les pompiers ont fracturé sa porte pour le prendre en charge et le mettre en sécurité. Légèrement intoxiqué, il a été transporté à l'hôpital.
L'intervention rapide des soldats du feu a permis de limiter les dégâts. Seuls, les murs du hall, de la cage d'escalier et des parties communes ont été noircis jusqu'au premier étage.
L'enquête a été confiée au quart judiciaire qui n'exclut pas la piste de l'incendie criminel.
Deux autres locataires, un homme de 68 ans domicilié au premier étage et un autre de 55 ans du rez-de-chaussée, ont également évacué l'immeuble. Le plus âgé a été légèrement brûlé à un pied et à une main en descendant dans l'escalier embrasé. Il a, en outre, été légèrement intoxiqué par les fumées. Il a été conduit à l'hôpital.
Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir pour porter secours à un locataire du deuxième étage . L'homme, âgé de 36 ans, alors plongé dans un profond sommeil, n'a rien entendu. Les pompiers ont fracturé sa porte pour le prendre en charge et le mettre en sécurité. Légèrement intoxiqué, il a été transporté à l'hôpital.
L'intervention rapide des soldats du feu a permis de limiter les dégâts. Seuls, les murs du hall, de la cage d'escalier et des parties communes ont été noircis jusqu'au premier étage.
L'enquête a été confiée au quart judiciaire qui n'exclut pas la piste de l'incendie criminel.