L'automobiliste, particulièrement agressif, a dû être amené au sol pour être menotté (Illustration)
Cette nuit de mardi 14 février, vers 2 heures, la brigade anti-criminalité a dû se lancer à la poursuite d'une BMW qui roulait à vive allure sur les quais de la rive droite à Rouen. Le conducteur a pris des risques n'hésitant pas à griller un feu rouge à l'intersection avec l'avenue Pasteur, avant de tourner à gauche quai Ferdinand-de-Lesseps.
Rattrapé par le véhicule de police qui avait actionné gyrophare et avertisseurs deux tons, le chauffard s'est arrêté un peu plus loin. Lorsqu'il est descendu de son véhicule, les fonctionnaires ont rapidement constaté que le conducteur, un habitant de Déville-lès-Rouen âgé de 29 ans, titubait et sentait l'alcool. "Il tenait des propos incohérents", relate une source policière. Il a d'ailleurs reconnu avoir bu quelques bières avec ses collègues, comme lui déménageurs, après "une journée de travail de 15 heures", a-t-il précisé.
Il refuse tout dépistage d'alcoolémie
L'automobiliste, particulièrement agressif et vindicatif, a refusé de souffler dans l'éthylotest. Les policiers ont dû employer la force, c'est-à-dire l'amener au sol et le menotter, afin de le contraindre à monter dans leur véhicule. A l'hôtel de police, il a une nouvelle fois refusé de souffler dans l'éthylomètre. De même, conduit à l'hôpital Saint-Julien à Petit-Quevilly, il s'est opposé à un prélèvement sanguin.
Il a néanmoins été placé en cellule de dégrisement pour conduite sous l'empire d'un état alcoolique. Il devait être auditionné ce mardi matin après avoir recouvré ses esprits.
Rattrapé par le véhicule de police qui avait actionné gyrophare et avertisseurs deux tons, le chauffard s'est arrêté un peu plus loin. Lorsqu'il est descendu de son véhicule, les fonctionnaires ont rapidement constaté que le conducteur, un habitant de Déville-lès-Rouen âgé de 29 ans, titubait et sentait l'alcool. "Il tenait des propos incohérents", relate une source policière. Il a d'ailleurs reconnu avoir bu quelques bières avec ses collègues, comme lui déménageurs, après "une journée de travail de 15 heures", a-t-il précisé.
Il refuse tout dépistage d'alcoolémie
L'automobiliste, particulièrement agressif et vindicatif, a refusé de souffler dans l'éthylotest. Les policiers ont dû employer la force, c'est-à-dire l'amener au sol et le menotter, afin de le contraindre à monter dans leur véhicule. A l'hôtel de police, il a une nouvelle fois refusé de souffler dans l'éthylomètre. De même, conduit à l'hôpital Saint-Julien à Petit-Quevilly, il s'est opposé à un prélèvement sanguin.
Il a néanmoins été placé en cellule de dégrisement pour conduite sous l'empire d'un état alcoolique. Il devait être auditionné ce mardi matin après avoir recouvré ses esprits.