Refus d’obtempérer près de Rouen : trois jeunes interpellés pour détention de stupéfiants


100 g d’héroïne et 40 g de résine de cannabis ont été découverts lors de l'interpellation de trois jeunes gens, après un refus d'obtempérer


Publié le 01/07/2020 à 11:10 -


Illustration
Mardi 30 juin, vers 1 heure du matin, un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) tente d’intercepter une Seat Leon qui roule à vive allure, avenue Isaac-Newton à Saint-Étienne-du-Rouvray. Malgré les injonctions des forces de l'ordre, le conducteur refuse de s’arrêter et accélère.

Qu’à cela ne tienne. Un second équipage de la BAC se positionne à un rond-point et déploie le système Diva (dispositif d’intervention des véhicules automobiles). La voiture du fuyard roule sur la herse, contrainte de s’immobiliser avec un pneu crevé.

Le conducteur (20 ans) et les deux passagers (18 ans) sont interpellés. Ils sont tous les trois domiciliés à Saint-Etienne-du-Rouvray. 

Stoppée par le dispositif Diva (herse)

En poursuivant le véhicule, les policiers ont remarqué que les occupants s'étaient débarrassés d'objets par une fenêtre. Il s'agissait de sachets contenant 100 grammes d'héroïne et 40 grammes de résine de cannabis.

Une perquisition a été effectuée dans le véhicule par un officier de police judiciaire. C'est ainsi q'une arme -  un pistolet d'alarme - a été découvert, dissimulé sous le siège du conducteur. L'un des passagers était quant à lui en possession d'un cutter. 

Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour refus d'obtempérer et détention de stupéfiants. 

L'enquête est confiée au Groupe d'appui judiciaire (GAJ) du commissariat d'Elbeuf. 

Une arme cachée sous le siège

Une perquisition a été effectuée dans le véhicule par un officier de police judiciaire. C'est ainsi q'une arme - un pistolet d'alarme - a été découverte, dissimulée sous le siège du conducteur. L'un des passagers était quant à lui en possession d'un cutter.

Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour refus d'obtempérer et détention de stupéfiants.

L'enquête est confiée au Groupe d'appui judiciaire (GAJ) du commissariat d'Elbeuf.