Une petite centaine de salariés de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne ont manifesté ce jeudi après-midi, entre 13 h 45 et 16 h 15, dans les rues de Rouen.
Les manifestants, à bord d'une trentaine de véhicules, ont procédé à une opération escargot qui les a conduits de la raffinerie au tribunal de commerce de Rouen, après un détour par la zone portuaire et une halte à la préfecture où une délégation a été reçue par un collaborateur du préfet, Pierre-Henry Maccioni.
Pour l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC il s'agissait de manifester son désaccord avec la décision du tribunal de commerce convoquer une audience le 16 avril pour examiner les deux offres de reprise retenues mardi par les administrateurs judiciaires.
"Nous voulons que l'audience se déroule avant le 16, date de la fin d'autorisation de poursuite de l'activité, et que les deux autres offres, écartées par les administrateurs, puissent être aussi étudiées par le tribunal", a indiqué Yvon Scornet, le porte-parole de l'intersyndicale.
Les manifestants, à bord d'une trentaine de véhicules, ont procédé à une opération escargot qui les a conduits de la raffinerie au tribunal de commerce de Rouen, après un détour par la zone portuaire et une halte à la préfecture où une délégation a été reçue par un collaborateur du préfet, Pierre-Henry Maccioni.
Pour l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC il s'agissait de manifester son désaccord avec la décision du tribunal de commerce convoquer une audience le 16 avril pour examiner les deux offres de reprise retenues mardi par les administrateurs judiciaires.
"Nous voulons que l'audience se déroule avant le 16, date de la fin d'autorisation de poursuite de l'activité, et que les deux autres offres, écartées par les administrateurs, puissent être aussi étudiées par le tribunal", a indiqué Yvon Scornet, le porte-parole de l'intersyndicale.