Les hommes de la brigade de recherches et d'intervention (BRI) avaient pu remonter la piste des kidnappeurs jusqu'à Gonfreville-l'Orcher, grâce à l'exploitation de leurs téléphones portables (Illustration)
Trois Chinois, accusés d'avoir enlevé en septembre 2014 deux enfants alors âgés de 9 et 10 ans dans l'espoir de soutirer 380.000 euros de rançon à leur père qui employait l'un d'entre eux, sont jugés à partir de ce jeudi par la Cour d'assises des Hauts-de-Seine, à Nanterre.
La police avait remonté la piste des ravisseurs grâce aux téléphones portables. Le véhicule sur lequel de fausses plaques minéralogiques avaient été grossièrement scotchées, avait été repéré le 17 décembre 2014 sur un parking de Gonfreville-l'Orcher, près du Havre en Seine-Maritime. Les deux enfants, kidnappés deux jours plus tôt sur le chemin de l'école, à Nanterre (Hauts-de-Seine) avaient été découverts à l'intérieur sains et saufs.
Les trois accusés, âgés de 28, 47 et 49 ans, encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict doit être rendu lundi.
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La police avait remonté la piste des ravisseurs grâce aux téléphones portables. Le véhicule sur lequel de fausses plaques minéralogiques avaient été grossièrement scotchées, avait été repéré le 17 décembre 2014 sur un parking de Gonfreville-l'Orcher, près du Havre en Seine-Maritime. Les deux enfants, kidnappés deux jours plus tôt sur le chemin de l'école, à Nanterre (Hauts-de-Seine) avaient été découverts à l'intérieur sains et saufs.
Les trois accusés, âgés de 28, 47 et 49 ans, encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict doit être rendu lundi.
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