Pablo Néruda est un lycée général et technologique
SEINE-MARITIME. Que s'est-il passé ce jeudi matin au lycée Pablo-Néruda à Dieppe, un peu avant 9 h 50 ? Une enquête a été ouverte par les services de police afin de faire toute la lumière sur une altercation qui a opposé un professeur de mathématiques et le proviseur de l'établissement, Jean-Michel Sueur.
Ce dernier, âgé de 61 ans, a déposé plainte pour violences volontaires. Selon ses déclarations, il a été frappé de plusieurs coups de poing au visage par l'enseignant pour des raisons que l'enquête déterminera après l'audition des deux protagonistes.
Le professeur interpellé chez lui
Le professeur de mathématiques, un homme de 47 ans, a été interpellé cet après-midi à son domicile dans un village du canton de Longueville-sur-Scie. Il a été ramené au commissariat de Dieppe pour être entendu par les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine. Il a été laissé libre après son audition, indique Valérie Cadignan, procureure de la République de Dieppe.
« L'enquête n'est pas terminée. Nous avons encore des personnes à entendre et nous attendons de disposer d'un certificat médical de la victime pour connaître la nature et la gravité des blessures », souligne Valérie Cadignan à InfoNormandie.
Ce dernier, âgé de 61 ans, a déposé plainte pour violences volontaires. Selon ses déclarations, il a été frappé de plusieurs coups de poing au visage par l'enseignant pour des raisons que l'enquête déterminera après l'audition des deux protagonistes.
Le professeur interpellé chez lui
Le professeur de mathématiques, un homme de 47 ans, a été interpellé cet après-midi à son domicile dans un village du canton de Longueville-sur-Scie. Il a été ramené au commissariat de Dieppe pour être entendu par les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine. Il a été laissé libre après son audition, indique Valérie Cadignan, procureure de la République de Dieppe.
« L'enquête n'est pas terminée. Nous avons encore des personnes à entendre et nous attendons de disposer d'un certificat médical de la victime pour connaître la nature et la gravité des blessures », souligne Valérie Cadignan à InfoNormandie.