Le navire « Sea Eagle » a pu être remis à flot, ce vendredi en fin de matinée - Photo @ gendarmerie/Facebook
Le navire « Sea Eagle » a pu être remis à flot, ce vendredi en fin de matinée, après son échouement en Seine survenu dans la nuit du 11 au 12 décembre.
Il était immobilisé à hauteur de Saint-Maurice-d'Ételan (Seine-Maritime). Un pilote de Seine ainsi qu'un remorqueur ont été constamment présents, afin d'assurer la sécurité du navire, de l'équipage et des autres usagers de la Seine. Des rondes ont permis également de s'assurer qu'aucune voie d'eau ni aucune pollution n'étaient constatées, assure la préfecture.
Il était immobilisé à hauteur de Saint-Maurice-d'Ételan (Seine-Maritime). Un pilote de Seine ainsi qu'un remorqueur ont été constamment présents, afin d'assurer la sécurité du navire, de l'équipage et des autres usagers de la Seine. Des rondes ont permis également de s'assurer qu'aucune voie d'eau ni aucune pollution n'étaient constatées, assure la préfecture.
Aucune pollution, assure la préfecture
Après deux tentatives infructueuses, du fait d'un niveau d'eau trop faible pour permettre son déséchouement, une nouvelle tentative a eu lieu ce vendredi matin.
Le navire de 180 m de long et transportant une cargaison d’engrais solide en vrac a été pris en charge par six remorqueurs (3 remorqueurs provenant du grand port maritime de Rouen et 3 remorqueurs provenant du grand port maritime du Havre) à la faveur d'une pleine mer plus haute que les précédentes. Il a finalement pu être dégagé à 11 heures.
Le navire, battant pavillon libérien, fait maintenant route vers son quai de déchargement à Rouen, « après une inspection ayant permis de confirmer qu'aucune avarie de barre, de machine, aucune voie d'eau ou aucune pollution n'était à déplorer », indique encore la préfecture.
Le navire de 180 m de long et transportant une cargaison d’engrais solide en vrac a été pris en charge par six remorqueurs (3 remorqueurs provenant du grand port maritime de Rouen et 3 remorqueurs provenant du grand port maritime du Havre) à la faveur d'une pleine mer plus haute que les précédentes. Il a finalement pu être dégagé à 11 heures.
Le navire, battant pavillon libérien, fait maintenant route vers son quai de déchargement à Rouen, « après une inspection ayant permis de confirmer qu'aucune avarie de barre, de machine, aucune voie d'eau ou aucune pollution n'était à déplorer », indique encore la préfecture.