Les sapeurs-pompiers venus de quatre centres de secours ont lutté une partie de la nuit contre l'incendie - Photo © D.R.
Un bâtiment de 1700 m2 de l'entreprise Alma Mater a été totalement détruit par un incendie, ce mardi 10 juillet en deuxième partie de nuit, à Bernay (Eure). Des menaces de chômage technique pèsent sur les dix-sept salariés.
L'incendie s'est déclaré vers 3 heures ce matin. Quand les sapeurs-pompiers sont arrivés chemin de la Semaille, sur la zone artisanale de la Malouve située en bordure de la route de Broglie, le feu avait déjà fait son oeuvre : l'atelier de production spécialisé dans la sérigraphie textile était embrasé. Aucune chance donc de sauver, même une partie, de la matière première qui était entreposée à l'intérieur du vaste bâtiment ainsi que des produits solvants.
L'incendie s'est déclaré vers 3 heures ce matin. Quand les sapeurs-pompiers sont arrivés chemin de la Semaille, sur la zone artisanale de la Malouve située en bordure de la route de Broglie, le feu avait déjà fait son oeuvre : l'atelier de production spécialisé dans la sérigraphie textile était embrasé. Aucune chance donc de sauver, même une partie, de la matière première qui était entreposée à l'intérieur du vaste bâtiment ainsi que des produits solvants.
Quatre centres de secours mobilisés
Tout a brûlé, y compris les produits finis en attente de livraison, malgré les importants moyens déployés par les sapeurs-pompiers venus des centres de secours de Bernay, Thiberville, Beaumont-le-Roger et Broglie.
Les secours ont tout mis en oeuvre pour empêcher le feu de se propager aux entreprises voisines.
L'origine de l'incendie n'était pas connue en fin de journée.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigades de Bernay et la brigade de recherche. Des techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) du groupement de gendarmerie de l'Eure devaient procéder dans la journée à des investigations de police technique et scientifique.
Les secours ont tout mis en oeuvre pour empêcher le feu de se propager aux entreprises voisines.
L'origine de l'incendie n'était pas connue en fin de journée.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigades de Bernay et la brigade de recherche. Des techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) du groupement de gendarmerie de l'Eure devaient procéder dans la journée à des investigations de police technique et scientifique.