Un bateau de plaisance de touristes britanniques s'est envasé alors qu'il naviguait sur la Seine lundi en début de soirée à hauteur des Andelys (Eure). Un incident heureusement sans conséquence mais qui a mobilisé les secours.
Peu avant 18 heures, la gendarmerie et les sapeurs-pompiers des Andelys reçoivent un appel angoissé d'une femme s'exprimant avec un fort anglais. L'interlocutrice explique son mari rencontre des problèmes avec son bateau sur la Seine.
Les recherches entreprises immédiatement sur les bords du fleuve permettent en effet de localiser une embarcation immobilisée à bonne distance de la berge, au niveau de l'entrée de l'ancien port des Andelys. Le bateau est envasé et ne peut plus avancer.
Sorti d'affaire par un autre plaisancier
Le plaisancier britannique raconte qu'il a voulu pénétrer dans l'ancien port sans savoir que celui-ci n'était plus en activité. Sans doute n'a-t-il pas compris le sens des panneaux de signalisation indiquant que l'accès est désormais interdit.
C'est finalement un autre plaisancier, équipé d'un moteur plus puissant, qui l'a sorti de sa fâcheuse posture après une bonne demi-heure de manœuvres et d'efforts. Par mesure de sécurité, gendarmes et pompiers ont attendu que l'opération soit terminée pour regagner leur caserne respective.
Peu avant 18 heures, la gendarmerie et les sapeurs-pompiers des Andelys reçoivent un appel angoissé d'une femme s'exprimant avec un fort anglais. L'interlocutrice explique son mari rencontre des problèmes avec son bateau sur la Seine.
Les recherches entreprises immédiatement sur les bords du fleuve permettent en effet de localiser une embarcation immobilisée à bonne distance de la berge, au niveau de l'entrée de l'ancien port des Andelys. Le bateau est envasé et ne peut plus avancer.
Sorti d'affaire par un autre plaisancier
Le plaisancier britannique raconte qu'il a voulu pénétrer dans l'ancien port sans savoir que celui-ci n'était plus en activité. Sans doute n'a-t-il pas compris le sens des panneaux de signalisation indiquant que l'accès est désormais interdit.
C'est finalement un autre plaisancier, équipé d'un moteur plus puissant, qui l'a sorti de sa fâcheuse posture après une bonne demi-heure de manœuvres et d'efforts. Par mesure de sécurité, gendarmes et pompiers ont attendu que l'opération soit terminée pour regagner leur caserne respective.