Le pilote, fortement alcoolisé, a perdu le contrôle de son drone alors que ce dernier survolait l’usine Boréalis - illustration @ Pixabay
L’utilisation d’un drone est fortement réglementé, d’autant plus en zone urbaine. Un rouennais de 36 ans, propriétaire d’un de ces appareils, l’a appris à ses dépens : il s’est retrouvé en garde à vue à l’hôtel de police de Rouen.
Dimanche vers 21h30, les policiers ont été amenés à se rendre rue Pierre-Corneille à Grand-Quevilly après avoir été informés qu’un drone survolait illégalement le site de Boréalis, une usine d’engrais classée Seveso seuil haut.
Dimanche vers 21h30, les policiers ont été amenés à se rendre rue Pierre-Corneille à Grand-Quevilly après avoir été informés qu’un drone survolait illégalement le site de Boréalis, une usine d’engrais classée Seveso seuil haut.
Le drone tombe dans l’usine
En arrivant sur place, les forces de l’ordre ont constaté la présence d’un groupe d’une vingtaine de personnes réunis et en train de manger en plein air à proximité de l’usine.
L’un des participants tenait dans ses mains une télécommande qui a intrigué les fonctionnaires. Interrogé, l’homme a expliqué avoir perdu le contrôle de son drone qui est alors tombé a l’intérieur de l’enceinte de l’usine.
L’un des participants tenait dans ses mains une télécommande qui a intrigué les fonctionnaires. Interrogé, l’homme a expliqué avoir perdu le contrôle de son drone qui est alors tombé a l’intérieur de l’enceinte de l’usine.
2,74 g d’alcool dans le sang
Le mis en cause, fortement alcoolisé, a été emmené à l’hôtel de police où il a été contrôlé avec 1,37 g d’alcool par litre d’air expiré soit 2, 74 g par litre de sang. Il a été placé en dégrisement avant de pouvoir être auditionné et verbalisé.