La femme de 47 ans a été placée en garde à vue - Illustration
La femme dont l’appartement a été détruit par un incendie, mardi 28 mai, rue Joséphine à Évreux (Eure) a été placée en garde à vue pour destruction volontaire par incendie. Elle a été interpellée à l’hôpital d’Évreux où elle avait été admise pour des soins suite à une légère intoxication par les fumées.
L'incendie s'est déclaré vers 11 heures dans un logement aménagé sous les combles d'un immeuble de ville, face à la gare routière d'Evreux. L'occupante de l'appartement en feu, âgée de 47 ans, ainsi qu'un voisin de 55 ans ont été secourus par les sapeurs pompiers à l'aide d'une grande échelle. Tous deux ont été légèrement intoxiqués par les fumées et transportés au centre hospitalier de la ville.
Lors de l'intervention, trois pompiers ont été blessés, dont un plus sérieusement, nécessitant son transport à l'hôpital.
L'incendie s'est déclaré vers 11 heures dans un logement aménagé sous les combles d'un immeuble de ville, face à la gare routière d'Evreux. L'occupante de l'appartement en feu, âgée de 47 ans, ainsi qu'un voisin de 55 ans ont été secourus par les sapeurs pompiers à l'aide d'une grande échelle. Tous deux ont été légèrement intoxiqués par les fumées et transportés au centre hospitalier de la ville.
Lors de l'intervention, trois pompiers ont été blessés, dont un plus sérieusement, nécessitant son transport à l'hôpital.
Le témoignage troublant d'un voisin
Les premiers éléments recueillis sur place par les enquêteurs avaient permis d'établir que la femme de 47 ans qui occupait l'appartement où le feu est parti était fortement alcoolisée. Elle avait évoqué une cigarette mal éteinte, avant son transport à l'hôpital.
En faisant une enquête de voisinage, les policiers ont relevé un témoignage troublant, celui d'un voisin qui aurait entendu, plus tôt dans la journée, la quadragénaire menacer de "tout cramer".
La mise en cause a été placée en garde à vue pour être entendue à sa sortie de l'hôpital le même jour à 17 heures. Six heures après les faits, elle avait encore un taux de 1,20 gramme d'alcool par litre de sang.
La mise en cause a été remise en liberté le lendemain. Les investigations se poursuivent.
En faisant une enquête de voisinage, les policiers ont relevé un témoignage troublant, celui d'un voisin qui aurait entendu, plus tôt dans la journée, la quadragénaire menacer de "tout cramer".
La mise en cause a été placée en garde à vue pour être entendue à sa sortie de l'hôpital le même jour à 17 heures. Six heures après les faits, elle avait encore un taux de 1,20 gramme d'alcool par litre de sang.
La mise en cause a été remise en liberté le lendemain. Les investigations se poursuivent.