Illustration © infonormandie
Une femme de 56 ans et un adolescent de 15 ans ont été interpellés lundi 12 février à une trentaine de minutes d'intervalle à Evreux (Eure). Dans les deux cas, ils ont tenté d'introduire dans la maison d'arrêt des objets interdits, ce qui leur a valu leur placement en garde à vue.
A 14h20, des policiers chargés de la surveillance des abords de la prison remarque un jeune homme dont le comportement attire leur attention. Alors qu'ils s'approchent pour le contrôler, l'adolescent déclare être en possession dans son sac à dos de deux chaussettes contenant, l'une un téléphone portable et son chargeur, l'autre un morceau de résine de cannabis et des bonbons. La marchandise était destinée à être parachutée par dessus le mur d'enceinte de la maison d'arrêt à l'intention d'un détenu.
Le jeune homme a été remis en liberté avec un convocation devant le juge des enfants en vue de sa mise en examen.
A 14h20, des policiers chargés de la surveillance des abords de la prison remarque un jeune homme dont le comportement attire leur attention. Alors qu'ils s'approchent pour le contrôler, l'adolescent déclare être en possession dans son sac à dos de deux chaussettes contenant, l'une un téléphone portable et son chargeur, l'autre un morceau de résine de cannabis et des bonbons. La marchandise était destinée à être parachutée par dessus le mur d'enceinte de la maison d'arrêt à l'intention d'un détenu.
Le jeune homme a été remis en liberté avec un convocation devant le juge des enfants en vue de sa mise en examen.
Arrêtée au parloir avec du tabac et une carte sim
Une trentaine de minutes plus tard, les services de police ont été prévenus par la direction de la maison d'arrêt qu'une mère de famille avait tenté, lors du parloir de l'après-midi, de remettre à son fils en détention du tabac, des filtres et du papier à rouler ainsi qu'une carte sim de téléphone portable.
La mise en cause, âgée de 56 ans, a été interpellée et placée en garde à vue. Elle a fait l'objet d'une convocation sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 24 septembre prochain.
La mise en cause, âgée de 56 ans, a été interpellée et placée en garde à vue. Elle a fait l'objet d'une convocation sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 24 septembre prochain.