Les policiers d’Évreux (Eure) ont dû faire usage d’un pistolet à impulsion électrique pour maîtriser un homme particulièrement violent.
Vendredi 18 décembre, vers midi, un équipage du groupe de sécurité de proximité (GSP) est appelé à intervenir pour un différend familial au domicile d’un couple, rue de Sacquenville à Évreux. Une dispute a éclaté, en effet, entre des parents et leur fils de 28 ans. Ce dernier est fortement alcoolisé et sous l’emprise de stupéfiants (il aurait consommé de la cocaïne).
Vendredi 18 décembre, vers midi, un équipage du groupe de sécurité de proximité (GSP) est appelé à intervenir pour un différend familial au domicile d’un couple, rue de Sacquenville à Évreux. Une dispute a éclaté, en effet, entre des parents et leur fils de 28 ans. Ce dernier est fortement alcoolisé et sous l’emprise de stupéfiants (il aurait consommé de la cocaïne).
Garde à vue levée sur avis médical
L’homme s’en prend aux forces de l’ordre : il les insulte d’abord puis menace de « leur planter des clous dans les yeux » (sic). De fait, il sort une poignée de pointes de sa poche. A cet instant, l’un des policiers se sent contraint de dégainer un pistolet à impulsion électrique pour neutraliser le jeune excité qui est interpellé pour « violences aggravées sur personne dépositaire de l’autorité publique ».
Emmené à l’hôpital pour contrôle, sa garde à vue sera finalement levée sur avis médical en raison de son état mental qui lui a valu d’être hospitalisé. Le mis en cause sera entendu par les enquêteurs dès que sa santé le permettra, relate une source proche de l’enquête.
Emmené à l’hôpital pour contrôle, sa garde à vue sera finalement levée sur avis médical en raison de son état mental qui lui a valu d’être hospitalisé. Le mis en cause sera entendu par les enquêteurs dès que sa santé le permettra, relate une source proche de l’enquête.