Le groupe de BTP Eiffage va supprimer 98 postes sur son site de construction métallique à Martot, dans l'Eure. Un mauvais coup pour l'usine normande où "29 personnes seront recyclées sur 140", a précisé ce mardi matin Bruno Duvernet, délégué central CFDT.
Le plan de sauvegarde de l'emploi, présenté le 4 juin par la direction du groupe français, prévoit la fermeture de deux usines dans l'Est de la France, celles de Maizières-les-Metz (Moselle), entre Nancy et Metz et d'Etupes (Doubs). Il concerne un total de 239 postes sur 1100 affirme-t-elle (268 soutient la CFDT).
Selon le site du journal économique La Tribune , Eiffage se réorganise en raison du ralentissement de ses activités métal dans l'Hexagone. "En 2014, le chiffre d'affaires de l'activité métal d'Eiffage a baissé de 2,2% pour s'établir à 894 millions d'euros".
Le groupe de BTP envisage de délocaliser en Pologne, où le coût de la main d'oeuvre est moins élevée, la fabrication "toutes les petites pièces qui n'ont pas de valeur ajoutée"
Selon la CFDT, Eiffage devrait proposer aux salariés concernés par le plan social "des formations, des mutations et des facilités pour partir en retraite", ainsi que dans d'autres entreprises du groupe.
De son côté, la direction qui parle de "suppressions de postes" et non pas de licenciements, indique qu'elle a proposè près de 400 postes au titre du reclassement.
La CFDT et la CGT ont appelé les salariés à venir manifester leur mécontentement et leurs inquiétudes ce mercredi 10 juin devant le siège d'Eiffage à Asnières-sur-Seine, où doit se réunir un Comité de groupe.
Le plan de sauvegarde de l'emploi, présenté le 4 juin par la direction du groupe français, prévoit la fermeture de deux usines dans l'Est de la France, celles de Maizières-les-Metz (Moselle), entre Nancy et Metz et d'Etupes (Doubs). Il concerne un total de 239 postes sur 1100 affirme-t-elle (268 soutient la CFDT).
Selon le site du journal économique La Tribune , Eiffage se réorganise en raison du ralentissement de ses activités métal dans l'Hexagone. "En 2014, le chiffre d'affaires de l'activité métal d'Eiffage a baissé de 2,2% pour s'établir à 894 millions d'euros".
Le groupe de BTP envisage de délocaliser en Pologne, où le coût de la main d'oeuvre est moins élevée, la fabrication "toutes les petites pièces qui n'ont pas de valeur ajoutée"
Selon la CFDT, Eiffage devrait proposer aux salariés concernés par le plan social "des formations, des mutations et des facilités pour partir en retraite", ainsi que dans d'autres entreprises du groupe.
De son côté, la direction qui parle de "suppressions de postes" et non pas de licenciements, indique qu'elle a proposè près de 400 postes au titre du reclassement.
La CFDT et la CGT ont appelé les salariés à venir manifester leur mécontentement et leurs inquiétudes ce mercredi 10 juin devant le siège d'Eiffage à Asnières-sur-Seine, où doit se réunir un Comité de groupe.