Une quinzaine de sépultures auraient été dégradées dans les cimetières de Fontaine-Bellenger et d'Ailly, dans l'Eure. Les faits ont été constatés mercredi par la gendarmerie et la cellule d'identification criminelle (CIC) d'Evreux qui ont procédé à des relevés de traces et d'indices sur les lieux.
Curieusement ce sont uniquement des tombes à l'état d'abandon ou en attente de relèvement qui ont été endommagées.
Selon les premières investigations, il apparaît que dans un grand nombre de cas, les dégradations seraient déjà très anciennes. Les enquêteurs n'ont retrouvé aucun membre des familles des défunts.
Pourquoi les vandales s'en seraient-ils pris exclusivement à ces sépultures a l'abandon et pas aux autres ?
La question taraude les enquêteurs. Les gendarmes n'écartent pas cependant que des vandales aient pu pénétrer dans ces cimetières au cours de la nuit du 5 au 6 mai dernier et s'en soient pris à une tombe et peut être à quelques autres situées à proximité.
Ce qui est sûr, selon la gendarmerie, les dégradations constatées sur la quinzaine de tombes examinées n'ont pas été commises à "coups de masse" contrairement aux rumeurs qui courent, ces derniers jours, dans les villages concernés.
Curieusement ce sont uniquement des tombes à l'état d'abandon ou en attente de relèvement qui ont été endommagées.
Selon les premières investigations, il apparaît que dans un grand nombre de cas, les dégradations seraient déjà très anciennes. Les enquêteurs n'ont retrouvé aucun membre des familles des défunts.
Pourquoi les vandales s'en seraient-ils pris exclusivement à ces sépultures a l'abandon et pas aux autres ?
La question taraude les enquêteurs. Les gendarmes n'écartent pas cependant que des vandales aient pu pénétrer dans ces cimetières au cours de la nuit du 5 au 6 mai dernier et s'en soient pris à une tombe et peut être à quelques autres situées à proximité.
Ce qui est sûr, selon la gendarmerie, les dégradations constatées sur la quinzaine de tombes examinées n'ont pas été commises à "coups de masse" contrairement aux rumeurs qui courent, ces derniers jours, dans les villages concernés.