Le magasin Mutant de Yerville (Seine-Maritime) a été victime d'un cambriolage dans la nuit de lundi à aujourd'hui mardi 26 mars.
Les malfaiteurs se sont introduits dans le supermarché discount en découpant la porte métallique située sur le côté du bâtiment, installé sur la zone artisanale Bois de l'Arc, avenue Charles de Gaulle.
Selon les premières constatations, ils étaient venus manifestement avec le dessein d'emporter le coffre-fort, situé dans le bureau du directeur. Ils l'ont ainsi descellé du mur et l'ont traîné (il pèse 320 kg) jusqu'à l'extérieur pour le charger dans un véhicule.
Venus pour le coffre
Rien d'autre n'a été volé dans le magasin, ce qui laisse à penser aux enquêteurs que les individus étaient venus tout spécialement pour le coffre, dont on ignore le montant de l'argent qu'il contenait.
Ce sont les employés qui ont découvert les faits ce mardi matin vers 7 heures.
Le montant du préjudice n'a pas été communiqué.
La cellule d'investigation criminelle (CIC) de la gendarmerie a procédé aux constatations d'usage, à savoir relevé d'empreintes et éventuelles traces ADN.
L'enquête est confiée à la communauté de brigades de Yerville épaulée par la brigade de recherches d'Yvetot.
Les malfaiteurs se sont introduits dans le supermarché discount en découpant la porte métallique située sur le côté du bâtiment, installé sur la zone artisanale Bois de l'Arc, avenue Charles de Gaulle.
Selon les premières constatations, ils étaient venus manifestement avec le dessein d'emporter le coffre-fort, situé dans le bureau du directeur. Ils l'ont ainsi descellé du mur et l'ont traîné (il pèse 320 kg) jusqu'à l'extérieur pour le charger dans un véhicule.
Venus pour le coffre
Rien d'autre n'a été volé dans le magasin, ce qui laisse à penser aux enquêteurs que les individus étaient venus tout spécialement pour le coffre, dont on ignore le montant de l'argent qu'il contenait.
Ce sont les employés qui ont découvert les faits ce mardi matin vers 7 heures.
Le montant du préjudice n'a pas été communiqué.
La cellule d'investigation criminelle (CIC) de la gendarmerie a procédé aux constatations d'usage, à savoir relevé d'empreintes et éventuelles traces ADN.
L'enquête est confiée à la communauté de brigades de Yerville épaulée par la brigade de recherches d'Yvetot.