Le corps sans vie de Jean-Claude Follenfan a été découvert ce vendredi 2 août vers 11 heures, dans la forêt de Limésy (Seine-Maritime) aux abords du centre équestre de cette commune.
Le septuagénaire qui était signalé disparu depuis lundi 29 juillet vers 10 h 30 a mis fin à ses jours par pendaison. La mort remonterait à plus de 48 heures, selon le médecin légiste qui a examiné le corps.
Le corps a été remis à la famille, indique-t-on du côté des enquêteurs.
Le septuagénaire qui était signalé disparu depuis lundi 29 juillet vers 10 h 30 a mis fin à ses jours par pendaison. La mort remonterait à plus de 48 heures, selon le médecin légiste qui a examiné le corps.
Le corps a été remis à la famille, indique-t-on du côté des enquêteurs.
Il avait été vu à plusieurs reprises
Depuis lundi 29 juillet, les gendarmes étaient à la recherche du septuagénaire, dont la disparition avait été signalée par son épouse. Jean-Claude Follenfan avait quitté son domicile ce jour-là vers 10 h 30, à Limésy (Seine-Maritime). Depuis, il n'avait pas donné signe.
Les recherches entreprises n'avaient pas permis de retrouver sa trace. Le septuagénaire, qui était dépressif depuis dix ans et suivi médicalement, avait été aperçu à plusieurs reprises, notamment à Saint-Marguerite-des-Champs et à Pavilly, jeudi matin.
Des employés communaux de Limésy l'auraient également aperçu dans le secteur du centre équestre. Un endroit qu'il connaît bien pour y avoir pratiqué quotidiennement de longues marches.
Selon les gendarmes, Jean-Claude Follenfan était un bon randonneur, ce qui pouvait expliquer sa faculté à se déplacer d'une commune à l'autre.
Une quinzaine de gendarmes et deux chiens pisteurs de la gendarmerie, spécialement dressés pour la recherche de personnes disparues, avaient ratissé la commune de Limésy et les villages environnants. En vain.
Les recherches entreprises n'avaient pas permis de retrouver sa trace. Le septuagénaire, qui était dépressif depuis dix ans et suivi médicalement, avait été aperçu à plusieurs reprises, notamment à Saint-Marguerite-des-Champs et à Pavilly, jeudi matin.
Des employés communaux de Limésy l'auraient également aperçu dans le secteur du centre équestre. Un endroit qu'il connaît bien pour y avoir pratiqué quotidiennement de longues marches.
Selon les gendarmes, Jean-Claude Follenfan était un bon randonneur, ce qui pouvait expliquer sa faculté à se déplacer d'une commune à l'autre.
Une quinzaine de gendarmes et deux chiens pisteurs de la gendarmerie, spécialement dressés pour la recherche de personnes disparues, avaient ratissé la commune de Limésy et les villages environnants. En vain.