EURE. Un septuagénaire, armé d'une carabine à plomb, a tiré sans raison sur un invité de ses voisins vendredi soir, 13 juin, rue de l'Eglantier à Vernon. Est-ce le bruit qui l'importunait ? Toujours est-il qu'un homme de 78 ans a sorti sa carabine et a fait feu, blessant au genou gauche un homme qui se trouvait chez des amis pour la soirée.
A l'arrivée des policiers, le tireur s'est retranché dans son pavillon. Les fonctionnaires ont alors tenté de discuter avec lui afin de le ramener à la raison, mais le septuagénaire a refusé d'entendre raison. N'étant pas spécialement menaçant, les policiers ont entrepris de pénétrer à l'intérieur de la demeure, mais à cet instant ils ont entendu deux détonations. Un des gardiens de la paix a perçu un souffle au niveau des jambes, mais il n'a pas été touché par le tir.
Le forcené s'est alors enfui par l'arrière de la maison pour aller se réfugier au fond du jardin. Tandis que les policiers étaient sur le point de le neutraliser, l'homme, qui n'était plus armé, a déclaré être en possession d'une grenade. Il a finalement été interpellé sans violence et ramené au commissariat de Vernon pour être placé en garde à vue.
Après avoir été examiné par un médecin, à la demande des enquêteurs qui trouvaient son comportement bizarre, le septuagénaire a été conduit au centre hospitalier spécialisé de Navarre à Evreux où il a fait l'objet d'une hospitalisation en psychiatrie.
A l'arrivée des policiers, le tireur s'est retranché dans son pavillon. Les fonctionnaires ont alors tenté de discuter avec lui afin de le ramener à la raison, mais le septuagénaire a refusé d'entendre raison. N'étant pas spécialement menaçant, les policiers ont entrepris de pénétrer à l'intérieur de la demeure, mais à cet instant ils ont entendu deux détonations. Un des gardiens de la paix a perçu un souffle au niveau des jambes, mais il n'a pas été touché par le tir.
Le forcené s'est alors enfui par l'arrière de la maison pour aller se réfugier au fond du jardin. Tandis que les policiers étaient sur le point de le neutraliser, l'homme, qui n'était plus armé, a déclaré être en possession d'une grenade. Il a finalement été interpellé sans violence et ramené au commissariat de Vernon pour être placé en garde à vue.
Après avoir été examiné par un médecin, à la demande des enquêteurs qui trouvaient son comportement bizarre, le septuagénaire a été conduit au centre hospitalier spécialisé de Navarre à Evreux où il a fait l'objet d'une hospitalisation en psychiatrie.