Les policiers ont dû faire usage d’un pistolet à impulsion électrique en mode contact pour calmer les ardeurs d’un automobiliste.
La scène se déroule mardi 29 octobre, peu avant minuit, à Évreux (Eure). Un contrôle routier de routine est mis en place rue Pierre Mendès-France. Les policiers décident alors d’intercepter une Peugeot 307, avec à bord trois occupants, un homme et deux jeunes femmes.
La scène se déroule mardi 29 octobre, peu avant minuit, à Évreux (Eure). Un contrôle routier de routine est mis en place rue Pierre Mendès-France. Les policiers décident alors d’intercepter une Peugeot 307, avec à bord trois occupants, un homme et deux jeunes femmes.
Il décline une fausse identité
Le conducteur, un ébroïcien de 18 ans, s’arrête. Invité à présenter son permis et et les papiers du véhicule, il indique ne pas les avoir sur lui mais décline volontiers son nom. Il s’agit en vérité d’une fausse identité.
Les gardiens de la paix lui font alors savoir qu’il va être emmené au commissariat pour vérifications. A cet instant, le jeune homme se rebelle, repousse l’un des fonctionnaires et s’enfuit en courant en direction de la rue du 28e R.I., abandonnant sur place la voiture et les deux passagères.
Les gardiens de la paix lui font alors savoir qu’il va être emmené au commissariat pour vérifications. A cet instant, le jeune homme se rebelle, repousse l’un des fonctionnaires et s’enfuit en courant en direction de la rue du 28e R.I., abandonnant sur place la voiture et les deux passagères.
Neutralisé par une décharge électrique
Les forces de l’ordre se lancent a sa poursuite à travers les rues d’Évreux et le rattrapent au bout d’une dizaine de minutes de course rue de Buzot où il est interpellé. Très vindicatifs et violent, les policiers doivent faire usage d’un pistolet à impulsion électrique pour le neutraliser.
Le mis en cause est placé en garde à vue pour rebellion et défaut de permis. Il a été remis en liberté après s’être vu notifier une convocation en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 13 janvier 2020.
Le mis en cause est placé en garde à vue pour rebellion et défaut de permis. Il a été remis en liberté après s’être vu notifier une convocation en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 13 janvier 2020.